🔁 François ne se transforme plus… il se reconstruit

 

4e partie – De l’après-perte de poids à la vraie reconquête de soi

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Perdre du poids, ce n’est pas une fin.
Ce n’est même pas un objectif en soi.
C’est juste un passage. Une porte. Un déclencheur.

Et François l’a bien compris.
Après 24 kilos envolés, une relation apaisée à la nourriture, et des routines bien ancrées…

Il s’est rendu compte qu’il lui restait un dernier chantier : se reconstruire en tant qu’homme.

Parce qu’il ne voulait plus être “celui qui a perdu du poids”.
Il voulait redevenir celui qui vit vraiment.

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1. Se réapproprier son corps, sans complexe ni performance 💪

Pendant longtemps, François n’habitait pas son corps.
Il le jugeait, l’analysait, le surveillait… mais il ne l’incarnait pas.

Aujourd’hui, il fait du sport.
Mais pas pour brûler des calories.
Il bouge pour se sentir vivant. Pour respirer. Pour s’étirer. Pour jouer.

“Je n’ai plus besoin que mon corps change. J’ai juste besoin qu’il m’accompagne bien.”

💡 À retenir :
Fais du mouvement un plaisir, pas une punition. Choisis des activités qui te donnent envie de recommencer, pas des séances que tu redoutes.

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2. Il a guéri son image de soi, petit à petit 🪞

“Je croyais que j’allais m’aimer quand j’aurais perdu. Mais c’est en m’aimant que j’ai commencé à vraiment vivre.”

François a travaillé un truc que personne ne t’explique quand tu commences un parcours de changement :
👉 Ton mental ne change pas automatiquement quand ton corps change.
👉 Il faut rééduquer ton regard. Recréer un lien de confiance avec ton reflet.

Ce qu’il a fait ?

• Il a jeté les vêtements-punitions (“Je les garde pour quand je serai plus mince”)

• Il a investi dans quelques habits dans lesquels il se sentait bien maintenant

• Il a refusé de se juger sur de vieilles photos

• Et il a appris à se dire merci, pas “encore un effort”

💡 Petit exercice : Regarde-toi chaque matin et dis une phrase gentille à ton corps. Même si ça sonne bizarre au début. C’est une graine. Elle pousse.

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3. Il a cessé de se définir par son “avant”

Pendant un temps, François racontait souvent son “avant” :

• Avant, j’étais mal dans ma peau

• Avant, je faisais que reprendre

• Avant, je me punissais avec la nourriture

Et puis il a compris quelque chose :

“Si je parle tout le temps de mon ‘avant’, je reste enfermé dedans. Moi, je veux être dans le maintenant.”

Il a donc choisi de :

• Ne plus faire de son parcours une identité

• Ne plus se présenter comme “ex-gros” ou “ex-régimeur”

• Juste vivre. Avancer. Être.

💡 À retenir : Tu n’es pas ton passé. Tu n’es pas ton poids. Tu es bien plus vaste que ça.

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4. Il s’est reconnecté aux autres (sans avoir peur du regard)

Quand François se sentait mal dans son corps, il évitait certaines situations :

• Les piscines 🏊‍♂️

• Les photos 📸

• Les soirées debout où il se sentait “visible”

• Les habits trop près du corps

Maintenant ?
Il y va. Pas parce qu’il est “fier de son nouveau corps”… mais parce qu’il n’a plus besoin d’avoir honte.

“J’ai compris que la vraie liberté, ce n’est pas d’être parfait… c’est d’arrêter de se cacher.”

💡 Conseil : N’attends pas d’avoir un “corps objectif” pour sortir, danser, parler en public. Commence avec le corps que tu as. Et vois ce qui se passe.

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5. Il est passé du “réparer” au “rayonner” ✨

Avant, François voulait réparer quelque chose.

Aujourd’hui, il veut contribuer, rayonner, transmettre.

Il parle plus facilement de son parcours autour de lui. Pas pour se mettre en avant.
Mais pour dire aux autres :
“Tu n’es pas seul. Et tu peux y arriver autrement.”

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💬 Le mot de François aujourd’hui

“La transformation physique, c’est un chapitre. Mais le livre, c’est ta vie entière. Et tu peux l’écrire autrement maintenant.”

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🎯 Et toi, es-tu prêt à ne plus être défini par ton passé ?

Peut-être que tu es au début du changement.
Ou au milieu.
Ou déjà en train d’ancrer une nouvelle version de toi.

Peu importe.

Ce que tu dois retenir, c’est que :

• Tu n’es pas juste un corps à remodeler

• Tu es un être entier, avec des désirs, des forces, des talents, de la lumière

• Et ce que tu construis aujourd’hui peut dépasser de loin ce que tu croyais possible

Alors si tu veux aller plus loin dans ta transformation, au-delà du poids…
Je suis là.

Pas pour te dire quoi faire.
Mais pour t’accompagner dans ce que tu veux devenir. En vrai.

À bientôt,
Pascal

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